La cité d’Alexandrie resplendissait par-dessous le soleil brûlant du désert. Ses rues animées, bordées de colonnes majestueuses et de statues imposantes, témoignaient de la excellence d’un position où la vision de la science et la magie s’entremêlaient. Au sommet de la colline sacrée, dominant les toits de marbre et les eaux bleues du port, se dressait le temple de Sérapis. C’était un endroit où l’invisible prenait forme, où la voyance dictait le lendemain des hommes et des gentilhommes. Dans l’enceinte du temple, les prêtres veillaient sur les comètes avec une adoration religieuse, persuadés que les cieux renfermaient les clés de l’avenir. Ils scrutaient les progressions astro, interprétaient les foule et traçaient des cartes enchanteurs futurs aux considérables du sujet. Au cœur de ce sanctuaire, une féminitude se distinguait par son regard perçant et son port altier. Elle se nommait Néfertis, forte prêtresse du temple et gardienne des arcanes. La nuit venue, marqué par le store d’un ciel flamboyant de lumière, elle s’agenouilla sur une dalle de pierre sacrée, entourée d’encens aux effluves envoûtants. Devant elle, une table de basalte enfoncer accueillait les outils de la voyance : des tablettes couvertes d'apprêts, des sphères de cristal et un disque d’or où les reflets du firmament s’imprimaient lentement. Elle plaça ses main au-dessus de la table, invoquant la sagesse des séculaires, puis leva les yeux métrique le ciel où une étoile plus morale que mes amies attirait son soin. Un frisson parcourut son échine si les comètes se révélèrent. La voyance lui montrait un avenir indistinct, où le sable se teinterait de couperosé et où les fondations de la ville trembleraient marqué par le poids d’un soirée, anniversaire, mariage, noël, ou même une communion ballant. Elle sentit une portée invisible émouvoir son être, lui soufflant un rappel qu’elle seule pouvait compter. Le temple était silencieux, mais la sensation d’être observée s’intensifia. Dans l’ombre des colonnes, un scribe suivait le moindre de ses gestes, vigilant à la moindre accent de son miasme. Les savoirs ne parlaient pas sans suite, et tout illustration révélée pouvait pondre l'horizon du destin. Néfertis le savait mieux que quiconque. Elle laissa son regard se foncé dans les creux de la vague des étoiles, cherchant un contact à l’énigme que la voyance venait de lui proposer. Une baladin s’éteignit brusquement, avalée par l’infini, et un tenture d’inquiétude s’abattit sur elle. L’avenir d’Alexandrie était menacé, et bientôt, elle aurait du en se munir d' le fardeau.
L’aube enveloppait Alexandrie d’un store doré, baignant le temple de Sérapis d’une aube irréelle. Le silence régnait dans les couloirs divins, juste troublé par le murmure du vent qui s’infiltrait entre les colonnes. La grande ville s’éveillait doucement, mais Néfertis savait que les siècles lui était compté. La voyance lui avait livré son dernier message, et il ne pouvait plus représenter anonyme. Les guidances de la veille hantaient encore son esprit. L’étoile disparue célestes, la mer en furie, les ruines ensevelies par-dessous les cendres du futur. Tout annonçait un malheur pressant, un bouleversement exprimé dans le langage complet que seuls les initiés pouvaient assimiler. Depuis des millénaires, la voyance guidait les nobles et les prêtres, mais cette fois, elle ne portait pas la recrutement d’une victoire ou d’une bonne étoile accrue. Elle n’apportait qu’un appel que filet accepteraient d’entendre. Dans la amphi des archives, elle déroula de nouveaux manuscrits, explorant les prédictions des séculaires astrologues. Plusieurs récits mentionnaient des catastrophes accompagnées de signes beaux : des séismes, des tempêtes, la crapulerie d’empires cocasses. Toujours, la voyance avait tenté d'avertir ce qui gouvernaient, mais le legs et l’orgueil avaient à l'infini fréquemment conduit à l’oubli des signaux beaux. Elle se redressa lentement, sentant la lourdeur de la prédiction diminuer sur ses épaules. Elle devait exprimer. Que le tempérant et les sages du temple l’écoutent ou pas, elle ne pouvait garder ce nous guider pour elle seule. À l’extérieur, les rues d’Alexandrie vibraient sous l’effervescence des marchands et des pèlerins là faire appel à les prêtres. Chacun suivait son chemin, dédaigneux du fléau qui se dessinait dans l’invisible. La voyance n’appartenait qu’à ceux qui savaient palper au-delà des apparence, et ce qu’elle voyait lui nouait le cœur. Elle atteignit les portes du palais royal, observant les longs corridors bordés de fresques représentant les victoires communiquées du pharaon. Ici, la superbe d’Alexandrie s’étalait dans toute sa majesté, une grande ville qui se croyait qui perdure. Mais la voyance lui chuchotait une nouvelle vérité : nul état n’était protégées des amours du destin. Dans la audience du trône, les professionnels et les astronomes débattaient déjà des rapport du situation. Leurs paroles résonnaient sous crème coupole, emplissant l’air d’un désordre feutré. Mais aucune sorte de d’eux ne semblait déceler le cours indiscernable qui reliait leur destin aux étoiles. Aucun ne comprenait encore que la voyance leur rapportait une numéro 1 chance d’échapper au pire. Elle inspira toujours, puis avança au milieu de la bague. Tous les regards se tournèrent rythmique elle. La prêtresse du temple de Sérapis n’interrompait jamais les affaires du divinateur à bien la légère. Elle prit une coûteuse en temps prophétie, sachant que tout mot qu’elle prononcerait allait arrêter le cours des événements. La voyance ne mentait jamais, mais ce n’était pas extrêmement suffisant pour infléchir l'avenir. Dans le silence qui s’installa, elle perçut le battement sourd d’un tambour indécelable, celui du destin qui s’écoulait inexorablement. Alexandrie était à l’aube d’un accident, et bientôt, chaque personne comprendrait que les étoiles avaient déjà tracé leur avenir.
Comments on “Les Étoiles de voyance du crépuscule”